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ARCHIVES 2017

rallye labyrinthe

 

 

Nous avons connu des sorciers en automobile, des gens à l'imagination et au génie hors du commun. Ils étaient capables de transformer une modeste auto populaire en une redoutable "bête de course". Je pense à Amédée GORDINI, qui avant de créer sa propre marque a boosté quelques FIAT et SIMCA puis a terminé sa carrière en "vitaminant" quelques RENAULT célèbres. Je pense également à Karl (Carlo) ABARTH qui nous a produit de terribles engins à affoler les chronomètres en prenant pour base d'humbles autos de monsieur tout le monde. On pourrait en citer bien d'autres, comme, par exemple, plus près de nous, Carroll SHELBY, qui nous a, lui aussi, laissé en héritage quelque modèles fortement bodybuildés, mais aucun n'arrivera à la cheville de notre sorcier maison, notre Merlin spécial LAMC. Le notre, entre le départ du rallye Labyrinthe à 9h15 et midi, nous a transformé une petite Autobianchi A 112 LX (tiens Carlo Abarth s'était déjà penché sur cette auto) en une monstrueuse AC Cobra, (il me semble que Carroll Shelby s'était occupé de celle là). Sans faire de savants calculs, sans construire de prototype, sans faire de nombreux essais, Yann a réussi cet exploit. En fait, il n'y a pas de magie dans ce tour de passe-passe. En achetant la A 112 Yann savait que l'embrayage était fatigué. Il espérait que l'auto pourrait encore parcourir les quelques dizaines de kilomètre de ce rallye avant la casse mécanique, mais ce ne fut pas le cas. En arrivant au casse croûte campagnard du matin, au domaine de "La Cadenière", plus aucune vitesse ne voulait passer. L'écurie n'étant pas loin, Yann a pu, comme au temps des relais de poste, aller changer ses chevaux épuisés contre un attelage piaffant et fringant. Bien entendu il n'a pas pu faire la deuxième étape et s'est retrouvé bon dernier du classement.

J'en entend qui ronchonnent et qui murmurent: "c'est agaçant, on parle toujours des mêmes dans ces colonnes; et nous alors?". Eh oui, il y a ceux qui savent se mettre en valeur et se faire remarquer, toujours les mêmes souvent, c'est vrai, et il y a les autres à qui il n'arrive jamais rien, qui ne sont jamais en panne, qui ne perdent pas leurs clés de contact, qui ne se perdent pas en route, qui ne tombent pas en panne d'essence, qui, finalement, ont une vie calme, tranquille et sereine. Mais heureusement pour moi qu'il y a les premiers pour me donner matière à écrire quelques lignes, sinon, que pourrais-je bien vous raconter à la fin des rallyes?

Ce rallye Labyrinthe est particulier, il ne ressemble pas aux autres que nous propose Michel tout au long de l'année. C'est ce qui fait son succès. Nous ne partons pas en groupe, à la file indienne, comme pour les autres sorties, mais de trente secondes en trente secondes. Il n'est pas possible de se suivre puisqu'il y a plusieurs parcours. Le GPS est souvent inutile car, dans certains carrefours il faut trouver son cap à la boussole. On ne peut pas prendre des raccourcis, il y a ces sacrés panneaux, sournoisement placés, dont il faut relever le numéro pour le noter sur la feuille de pointage. Il y a toutes ces autos que tu croises ou que tu aperçois au loin, dans la campagne, qui sont sur une autre route et qui te font douter. Il y a ces chemins que tu ne connais pas, toi qui est né là, tout près, il y a quelques décennies, alors que tu t'imaginais être passé partout et connaitre le moindre recoin de "ton pays".

Mais il y a un revers à la médaille, ce rallye donne beaucoup plus de travail de préparation et de gestion à l'équipe d'organisation que les autres. Il y a plusieurs road book à créer et à éditer, donc des kilomètres de reconnaissance à faire même si on tourne "autour de la maison". Il y a le matériel à préparer, les courses à faire pour le petit déjeuner campagnard et l'apéritif, la mise en place des panneaux, des coupes et du matériel pour la remise des prix. Le parcours du combattant pour trouver les clés des différents locaux. La collecte des feuilles de pointage et l'établissement du classement. La tenue des stands pour les épreuves permettant d'établir ce classement, (cette année se garer à 1 mètre d'un mur et tir à la carabine)... Aussi, cette année, pour éviter tout ce travail, Marie-Jo a comploté avec son fils et sa bru pour qu'ils lui fassent un petit fils le jour du rallye. Une bonne excuse pour laisser le travail aux autres et venir nous rejoindre juste à l'heure de l'apéro!

Et si je vous racontais un peu comment s'est déroulé le rallye, c'est finalement ce que vous venez chercher quand vous venez visiter ce site.

Il fait beau, j'allais écrire il ne fait pas chaud, mais il ne faut pas exagérer, ce n'est plus la canicule, certes, mais nous sommes encore en été. 33 équipages sont inscrits, dont 3 équipages féminins et 7 équipages jeunes copilotes de moins de 15 ans.

Les plaques de rallye sont fixées à l'avant des autos. Il est 9 h 15, le départ est donné à la première voiture, la plus ancienne, la Citroën Rosalie de 1933 pilotée et copilotée par Maurice et Annick. Les autres suivent à 30 secondes d'intervalle. Dès le départ les itinéraires ne sont pas les mêmes, il n'y a pas beaucoup de différence, nous passons souvent sur les mêmes routes, je devrais plutôt employer le mot chemin, car le passage n'est pas bien large et le revêtement n'incite pas à la vitesse. Mais qu'importe, les paysages sont plaisants et nous ne passons que très rarement (pour ne pas dire jamais)  sur ces voies, bien que pour la majorité d'entre nous nous habitions tout près. Premier regroupement, tout le monde descend, boussole en main pour chercher son cap. Qui part à gauche, qui part à droite, qui va en face, tout ça pour se retrouver un peu plus loin, sur le même chemin. Mais avant de se retrouver, nous avons découvert (ou pas) des panneaux portant des numéros. Il faut noter ces numéros sur la feuille de route, ils serviront à établir le classement. Tiens, il me semblait qu'au départ on nous a dit qu'il n'y avait pas de classement, c'est d'ailleurs écrit dans le règlement me semble-t'il, attends je vais le relire. Ah non, il est précisé "qu'il s'agit d'une randonnée touristique sur route ouverte, sans épreuve de régularité et sans classement lié à la vitesse ou à un horaire imposé". Ouf!!! Nous voilà à la fin de la première étape, arrivée sur le parking du Domaine de la Cadenière où un commissaire note notre heure d'arrivée sur la feuille de route. Nous n'avons que 20 minutes pour gouter au petit déjeuner campagnard et déguster les crus offerts par le domaine.

Le commissaire est encore là au départ et note l'heure. Attention aux pénalités pour ceux qui auront dépassé le temps accordé. Tiens, il me semblait avoir lu qu'il n'y avait pas d'horaire imposé. Ah oui d'accord, le temps est imposé pour la durée de l'arrêt, pas pour le temps de roulage. Et c'est reparti, petits chemins, panneaux, boussole... Tiens, je ne savais pas qu'en passant par là on arrivait ici. Ce rallye est un bon moyen de découvrir son environnement limitrophe. L'été est toujours là, profitons en. Midi approche, nous arrivons au hameau des Baïsses, toujours sur la commune de Lançon. Nous allons pouvoir passer à table, bien que le copieux petit déjeuner campagnard ne soit pas très loin. Mais non, tu rêvais, deux commissaires nous attendent, l'un pour nous expliquer qu'il faut s'arrêter à un mètre du mur, l'autre, mètre en main qui mesure la distance exacte d'arrêt, et la note sur la fameuse feuille de route (ou de pointage), toujours pour ce fameux classement. Enfin nous allons manger. Que nenni, Michel en personne anime une épreuve de tir à la carabine, normalement sur cible carton, mais un peu plus loin, derrière la cible, sont garées la Traction de Bernard et les Matra 530 de la Régis Family!!! Enfin nous passons à table!

Le repas, au Clos des Oliviers était bon et copieux. J'aurais bien fait une petite sieste moi, après le repas, surtout que nous nous sommes levés tôt, mais bon, c'est ça le rallye, toujours sur la route. Tiens, il y avait encore ces petits chemins que nous n'avions pas encore pris aujourd'hui, il restait des panneaux à Michel pour planter au bord de la route, il a encore fallu sortir la boussole. Nous arrivons sur le parking du Centre Marcel Pagnol à Lançon. Nous remettons nos feuille de pointage. Michel va pouvoir établir le classement.

Pendant que les participants papotent sur le parking, une petite équipe travaille à l'intérieur. Il faut installer la remise des prix, disposer les chaises, mettre en place les coupes qui vont être distribuées, préparer la table pour l'apéritif qui clôturera cette journée...

Monsieur le maire de Lançon est présent, il remettra les récompenses avec Michel et Sylvette. Les équipages féminins seront vivement applaudis, mais surtout les jeunes copilotes, qui, espérons le, assureront la relève pour organiser plus tard les manifestations et continuer à faire vivre ces vieilles mécaniques auxquelles nous sommes tant attachés.

 

 

https://drive.google.com/folderview?id=0B7hlmb-UPwpjfnptVVlvN3dJM180NGhhTmRjMk5uVE52X1JVekg0ZW5RWE5FV0JRcm1aazA&usp=sharing

1ère GLISSE 2017

Mois de janvier. Routes enneigées. Michel qui t'envoi des photos idylliques de la reconnaissance. Rallye 1ère glisse, ... , des milliers d'images de ta jeunesse te reviennent en mémoire, le rallye de Monte Carlo, bien sûr, et, sans remonter au temps où ce rallye se faisait en autocar, tu revois les Mini, Ford Escort, DS, Lancia, Alfa Roméo, Fiat Abarth, Audi Quattro, Stratos, ..., et bien d'autres dans des glissades de rêve devant des grappes de spectateurs enthousiastes qui bravent le froid sibérien pour admirer leurs idoles.

Non, je n'ai pas oublié les R8 et R12 Gordini et encore moins la Berlinette Alpine ou les Volvo, Sunbeam, Porsche, MG, Traban, ... , là je te laisse quelques lignes pour que tu rajoutes tes préférées, la liste n'est pas exhaustive.

Je ne parlerais pas de pilotes et copilotes car je risquerais d'écorcher leurs noms, mais tu te souviens sans doute de Darniche, Nicolas, Todt, Munari, Mouton, Röhrl, et là encore je te laisse quelques lignes pour compléter.

Nous voilà donc partis, de bonne heure, ce samedi 28 janvier (jour de l'an chinois), avec nos autos d'époque, pour revivre, à notre niveau et nos qualités de pilotage, les aventures de nos héros d'il y a quelques décennies.

Eh bien, là, tu vas rire, surtout toi, qui ne t'es pas inscrit à cette sortie parce que ta voiture est presque aussi frileuse que toi, toi qui as peut être vu les photos de la reconnaissance, toi qui t'es dit "ils vont galérer", toi, qui tout simplement aurai bien voulu venir t'amuser mais as trouvé ridicule d'investir dans des équipements spéciaux pour quelques kilomètres de routes amusantes. Toi, tu as vu, tranquillement installé dans ton canapé à regarder le J.T., des conditions de circulation difficile. Nous aussi. Mais ces conditions apocalyptiques que nous étions venus chercher n'étaient pas pour nous. Nous n'étions pas dans le bon coin de la France, où l'on ne pouvait plus circuler à cause de la neige et du verglas, où les enfants ne pouvaient pas aller à l'école, où les autos s'empilaient les unes sur les autres, où les piétons glissaient et tombaient sur les trottoirs. Nous nous étions dans à la montagne, dans les Alpes, les températures étaient douces, la neige était à peine visible, très loin, sur les plus hauts sommets.

Il, (Michel), nous avait promis des routes de rêve pour les "masos" que nous sommes. Il a du faire une compilation de photos, sur internet, pour nous faire croire que nous allions retrouver "ça" pendant le rallye. LAMC n'est plus un club de collectionneurs de voitures et motos anciennes, c'est devenu une agence de "vente" de rêves! Michel, tu as raison, il vaut mieux que tu passes la main à la fin de l'année!

Bon, faut être honnête, la reconnaissance, le 17 janvier, j'y étais. Ces belles routes blanches et ces paysages givrés j'y ai roulé, je les ai vus. Les photos sont réelles. Je me suis éclaté. Michel m'avait demandé de venir avec mon 4x4 pour assurer la sécurité de la sortie. Au vu des routes que nous avons parcourues et des prévisions météo, j'ai chargé dans mon coffre, des chaines, un treuil électrique, un cric électrique, une solide barre de remorquage, une pelle à neige, des sangles, des cordes, un gyrophare, ... , tout un tas de matériel pour faire face "au pire". J'ai donc oublié le principal, une bonne caisse à outils bien garnie. Mais nous n'en avons pas eu besoin. Il n'y a pas eu de panne. Juste un petit souci avec la Dauphine de Roland qui a fait des caprices en altitude. Je pense que cette voiture a plus besoin d'un cardiologue que d'un mécanicien. En montant à Notre Dame de la Sallette, la vignette de pollution de cette auto devait être "XXL noire" au vu du panache de fumée de son échappement. Mais, rassurez vous, notre animateur, DJ, mécano, photographe, Régis, a pris les choses en main, (lui avais une caisse à outils). Nous avons fait notre chemin de croix, à chaque piquet de la DDE pour signaler la hauteur de neige et les limites de la chaussée, la voiture n'en pouvait plus et Roland et Régis descendaient pour "affiner les réglages". Quel réglage ???? Au retour, plus nous perdions de l'altitude, mieux l'auto fonctionnait. Elle est tout simplement très sensible à la teneur en oxygène de l'air. C'est une auto de bord de mer, une auto de plage.

Bon, il n'y a pas eu de neige, et évidement, c'est frustrant, nous étions venus pour ça. Mais nous avons tout de même passé un super weekend. La montagne est toujours magnifique, quelle que soit la saison, enneigée ou pas. Les repas étaient bons, l'hôtel, malgré la taille réduite des chambres était confortable et propret. La clémence du temps nous a épargné de galérer dans le froid sur des trottoirs glissant pour nous rendre, par l'extérieur, de nos chambres à la salle à manger. Comme toujours, les petites routes de campagne nous ont conduits vers des paysages magnifiques hors de la contrainte de la circulation.

Nous avons eu une pensée amicale pour notre trésorière et notre vice président. Sylvette, suite à une chute, s'est brisé une jambe, ils ne pourront donc pas être parmi nous pendant encore quelques semaines.

Nous sommes à peine rentrés de ce rallye que la prochaine sortie arrive à grandes enjambées. Alors, prudence pour le 19 février, les caprices de la météo nous réservent peut être des surprises. Par précaution, mieux vaut garder les chaines dans le coffre de l'auto et les boots fourrées à portée de main!

 

 

 

AG

COMPTE RENDU - ASSEMBLEE GENERALE 2017

Et 27éme ANNEE d’Activité du CLUB

L’assemblée Générale de l’association et son Repas de fin d’année se sont déroulés le Dimanche 03

Décembre 2017.Au « Château de ROQUEFAVOUR » Ventabren 13

Etaient Présentes 86 pers pour l’AG + 3 procurations reçues.

Et 85 pour le Repas

Le QUORUM est atteint, l’Assemblée Générale peut STATUER

Vote pour autoriser le VOTE à la main levée

Contre = 0 – Pour = 86

Tous les votes qui suivront se feront à la main levée.

Nous enregistrons 1 nouvelle adhésion : Mr & Mme DESSARTS René & Chantal de Pélissanne.

Le Président SOUHAITE LA BIENVENUE au nom du Bureau Directeur

A l'ensemble des participants à cette A.G. de notre 27éme année d’activité.

Il rappelle, avec un profond regret qu’en 2017 nous avons eu malheureusement à déplorer 2

décès, DELAS Didier, à 93 ans il faisait parti des membres fondateur du club, et notre amie

RABANY Huguette l’épouse de J. Claude, dont la gentillesse et le sourire nous manquerons

beaucoup .

Merci A Léone PICOUT (notre présidente d’Honneur), à Martine & Guy SANTELLI nos Sponsors

et amis & à tous les Membres de l’Association présents à cette A.G.

REMERCIEMENTS DU PRESIDENT: Aux Municipalités de LANCON PROVENCE pour (Salle

Polyvalente pour l’Epiphanie + Arrêtés pour 3 Départs du Val de Sibourg + Café des Voisins) – A

La Famille RAVAUTE- La CAVE de l’Opidun des Cauvins à Rognes (Départ du 20° Rallye 1000

vers le Bas Bugey Lac du Bourget)

Merci à celles et ceux du club qui nous ont aidés lors des sorties et Expositions, pour suppléer

à l’indisponibilité de Sylvette (et Christian) suite à sa fracture de la cheville, entre autres Mariejo,

qui m’a et vous a piloté dans tous les Rallyes, mais aussi Gérard & Josette Ugolini, Yann

De carné, Lucien Noel dans l’Organisation , les Reconnaissances de nos Rallye et les Expos.

Merci à toutes et tous au nom du Bureau, pour vos Participations à nos sorties 2017

Merci notre Webmaster Pour tes comptes rendus et Photos sur les sorties Club (ou plutôt tes

reportages documentés, plein d’Humour & satiriques à souhait… que l’ont ne lira plus au retour des

sorties… Mais qui sait ?? Peut-être seront nous agréablement surpris par un successeur

éventuel !!!

PRESENTATION BILAN d’ACTIVITES 2017

1°) BILAN Général 2017

En 2017- 64 Familles adhérentes =115 pers. adultes +/-220 Véhicules Auto/Moto .

15 Manifestations du 4 Décembre 2016 (A.G) au 22 Octobre 2017(Sortie Fin de Saison).

1 Repas de Fin d'Année à l’A.G du Club.

Le Gateau des Rois pour l’Epiphanie (Salle Polyvalente de Sibourg)

8 rallyes (4 sur 1jrs- 1 sur 2jrs- 1 sur 4jrs- 1 sur 5jrs- 1 sur 6jrs) Balades, Visites &

Gastronomie.

5 Expositions

1 participation Samedi/Dimanche 8 & 9/04 ROAD AND ROCK auto Moto à la Barben,

1 Expo le 22/04- journée avec 2 Défilés en Ville à Salon pour le Printemps de l’Auto/Moto)

1 Expo le 13/05- Journée pour La Journée de l’Europe & des Jumelages à LANCON )

1 Participation du Club le 14/05 à la Journée Inter-Club à EYGUIERES

1 Participation du Club le 01/10 CAFE des Voisins (mini Forum des Asso du Val de SIBOURG)

(2 Expo Concours Elégance à Pélissanne et à St LEON annulées par les Maison de retraite) .

2°) BILAN détaillé

Ont participés à nos 15 manifestations et réunions en 2017 644 personnes avec 316 véhicules

(En moyenne 21 voitures et 43 pers par Manifestation )

RECORD 2017- 23°Mise en Jantes « Camargue » Avec 34 véhicules et 73 pers participantes.

Soit : 4048 km de parcours pour nos 21 jours de rallye (et +/-5000km, de reconnaissances des

itinéraires, effectués sur 13 journées).

Nous avons rayonnés lors de nos Rallyes sur 13 Départements :

01-04-05-12-13-24-26-30-34-38-46-73-84 + Italie & Suisse

Retombées ECONOMIQUES Générées par les activités du Club

Carburant, huiles, Pneus, entretient, Contrôles Techniques….Nos voitures ont fait au total

environ 85.000 kms lors de nos sorties ….

377 Petit déj Départ (préparés par Marie-Jo) + 1 Gâteaux & Galettes des Rois

1053 Repas (Restaurants/Traiteur) le midi.

460 Nuits en ½ Pension. HOTEL 2** et 3 *** ( France/ Italie ).

145 Plaques Rallyes distribuées (Participants, Restos, Hôtel, Mairies )

8 Road Book (4048km) crées => 202 Road Book tirès & distributes -

envir. +/- 11500 photocopies (double face) A4 –A3

18 déclarations aux préfets/es des Départements Concernés par nos concentrations( Bonne

nouvelle pour 2018 - Obligation de déclaration, seulement au-dessus 50 voitures participantes.)

LE PRESIDENT DONNE LA PAROLE

A Gérard UGOLINI le Webmaster, qui nous donne le bilan d’activité 2017, du Site Internet

du Club. « En 2017 j’ai relooké le Site, il est plus facile maintenant d’accéder aux différentes

rubriques, Les visites du site ont augmentés cette année de 15% . Le site se porte très bien, je

suis prêt à conseiller et aider mon futur successeur ».

Gérard Arrête, Si un volontaire désire prendre en charge le poste de Webmaster il pourra

postuler au moment de l’appel à candidature ??

******

A la Trésorière Sylvette SEGUIN pour Le Bilan Financier 2017

Recettes 2017:

- Adhésions 2 565,00€

- Engagements 64 195,89 €

- Intérêts Livret 2016 27,03 €

TOTAL 66 787,92 €

Dépenses 2017:

- Frais de Fonctionnement

(Petit Matériel, consommables Bureau, Toner Photocopieur, EDF bureau, Poste, tel/fax, ADSL,

Assurance. R.C. Club, Carburant déplacements divers, Événements exceptionnels club etc...)

Sous/Total Fonctionnement = 3 101,00€

- Total Fonctionnement & Organisation = 62 023,88€

- Frais bancaires + Remboursements sorties = 1583,74€

- Investissement petit Matériel

( Clé USB, 3 logiciels, Tambour + Développeur Pour Photocopieur MINOLTA …) = 259,98€

TOTAL 66 962,10

RESULTAT 2017 Débiteur = - 174,18

Réserve disponible pour 2017

(Banque + Caisses Espèces) = 14 451,36€

Répartition :

1 500€ en (Amortissements matériel, Ordinateur, Photocopieur …..)

12 951,36€ pour(Avances acomptes, Restos, Hôtels, Bateau etc...)

Un dernier mot avant de passer au Vote du QUITUS des COMPTES 2017

Au vu bilan 2017 le Bureau Directeur ne demandera pas de subventions pour 2018.

Nous faisons le maximum pour que nos sorties restent à la Portée du tous nos Adhérents !!.

Nous essayons en permanence de proposer une Participation financière Raisonnables, (Malgré le

fait d’être passer par un voyagiste pour 2 de nos grandes sorties 2017 )

**********

VOTE QUITUS des COMPTES

VOTE… Contre 0 Pour 85 Les comptes sont Approuvés

********

RENOUVELLEMENT du BUREAU DIRECTEUR

NOUS terminons la 27 éme Années d’activités du Club !!!

27ans de sorties avec nos anciennes, 27 ans de convivialité, d’amitié et parfois !!! De peines…..

et quelques petites galères qui après alimenterons nos souvenirs…

Sylvette SEGUIN -Notre trésorière tient la bourse du club (depuis 2000 ) 18 ans

Christian SEGUIN (21 ans Vice président )

Marie-Josée LATIL (a commencé en 1995 ) 23ans Secrétaire du Club..

Et Gérard UGOLINI nous a mis sur le Web depuis 5 ans !!

Ces Membres du BUREAU Directeur, ne se représentent pas pour 2018

*****

Ce REPRESENTES

Michel LATIL

LE PRESIDENT Sortant (Faute de Candidat à ce poste)

Yann DE CARNE

Le chargé des relations inter-Club et responsable des Expositions

Au poste de SECRETAIRE

Suite à l’APPEL à candidature à la dernière A.G. pour préparer la transition 2018

Mme RUMAUD Gisèle a fait acte de candidature (avant l’AG)

Au poste de TRESORIERE pour 2018,

DERNIER APPEL !!!

Qui d’autre postule à un postes qui ce libère ??

PAS de CANDIDATS !!.

Mise au VOTE DU RENOUVELLEMENT du BUREAU DIRECTEUR

A la main levée conformément aux Statuts

- Président LATIL Michel

VOTE… Contre 0 Pour 85

- Secrétaire DE CARNE Yann

VOTE… Contre 0 Pour 85

- Trésorière RUMAUD Giséle

VOTE… Contre 0 Pour 85

(Relations Inter Clubs Responsable Expositions DE CARNE Yann)

Le BUREAU DIRECTEUR est Elu à l’Unanimité pour l’année 2018PRESENTATION puis mise au VOTE du PROGRAMME

des MANIFESTATIONS 2018

VOTE Contre 0 Pour 85

Petites infos,

Les INSCRIPTIONS pour le 14éme RALLYE 1ere GLISSE les 20 & 21 Janvier 2018

Commencent maintenant et se termineront

Le 08 Janvier si pas complet avant !!!

*****

PENSEZ à REMPLIR & à RENDRE ou à nous RENVOYER vos Fiches de Préinscriptions

GRANDES SORTIES 2017 (si ce n’est pas déjà fait )

( SEULS CEUX QUI SE SONT PRE-INSCRITS ou MIS en ATTENTE pour ces SORTIES sur

plusieurs Jours, recevront les Programmes et Bulletins d’Inscription le moment venu.)Pour le Bureau Directeur      Les photos de Régis   ===>   https://drive.google.com/drive/folders/1jEetPRBjK55N1VX_6kBpitzGPhGpqq9T?usp=sharing 

 

 

RALLYE FIN DE SAISON

Sortie fin de saison, c’est donc la dernière de l’année. Le temps passe vite, j’ai l’impression d’avoir préparé une auto pour la 1ère glisse la semaine dernière, pourtant c’était il y a presque un an, … au mois de janvier.

Il fait beau ce dimanche matin. Malgré un « petit » mistral qui s’est levé cette nuit, la température est encore clémente pour une deuxième quinzaine d’octobre. Comme toujours, le parking est bien rempli pour cette dernière ballade de l’année. (Il y a encore quelques rares voitures modernes, mais il faut s’y faire, il semble que ça devienne la règle !). C’est probablement le second nom de ce rallye qui attire autant de monde : REPAS GIBIER.

Malgré la sècheresse, la nature, bien qu’elle souffre énormément, respecte le rythme des saisons. L’automne n’a pas encore déployé la totalité de sa palette de couleurs, mais les paysages sont tout de même somptueux en affichant des verts pâles, des jaunes, des rouges, des roux, des bruns, ... Il faudrait retourner dans une semaine ou deux pour admirer toutes les nuances des couleurs de cette superbe saison.

Entre le Val de Sibourg et Sault il y a plein de petites routes que nous avons arpentées plusieurs fois pour la plupart, mais c‘est toujours un plaisir renouvelé de les emprunter de nouveau. La saison, l’ensoleillement, le moment, le sens de circulation, font que nous avons l’impression d’y passer pour la première fois.

Pas de problème avec nos autos, si ce n’est l’Opel Kadet GSI cabriolet de notre ami Richard qui fait quelques caprices. Le moteur coupe sans raison apparente puis redémarre après quelques plus ou moins longues secondes de sollicitation du démarreur pour couper de nouveau quelques dizaines de kilomètres plus loin.

Arrivés à Sault le vent est assez violent. Du parking, nous pouvons admirer le Mont Ventoux dans toute sa majesté.

Je ne vous parlerai pas du repas que nous avons dégusté. Il fallait être présent pour apprécier, entre autres, la terrine de sanglier, le civet de lièvre, le plateau de fromages, la tarte tatin …

Le chemin du retour est aussi agréable que l’aller.

La saison 2017 est terminée. Le 3 décembre nous aurons notre assemblée générale annuelle qui devrait élire une équipe renouvelée et rajeunie pour nous proposer la saison 2018.

 



        https://drive.google.com/drive/folders/0B7hlmb-UPwpjcXB5bjFWSkdRaEk?usp=sharing

 

    

 

      

 

 

altitude 25000

ALTITUDE 25 000, 14ème édition !

Il y a deux ans, lorsque nous avons fait une partie des lacs italiens, la sortie s’appelait RALLYE 1 000. Sur le chemin du retour nous nous sommes arrêtés à  l’auberge « ANTICA OSTERIA Dell’ABATE », chez PINO, comme … il y a deux ans.  Comme la fois précédente, Michel a remis une plaque de rallye au patron. Celui-ci avait conservé précieusement et exposé cette marque de notre passage en 2015. Il ne comprenait pas pourquoi le rallye ne portait pas le même nom. Michel a du lui expliquer, avec l’aide de Marie-Claire qui faisait la traduction, que nous faisions, chaque année, un rallye montagnard où le cumul des altitudes franchies était proche des 25 000 mètres, et un rallye où la distance parcourue était proche des 1 000 kilomètres. D’où les appellations différentes suivant le critère le plus proche.

Nous avons rendez vous mardi matin pour la remise du carnet de route, de la plaque souvenir et des cartes pour des étapes de liaison qui nous conduiront au vrai départ du rallye, sur les rives du lac Majeur. Néanmoins le club propose un circuit touristique et a réservé hôtel et restaurants pour faciliter le voyage des participants.

Ceux qui ont suivi le parcours conseillé pour se rendre en Italie ont, autant que possible, emprunté les petites routes tranquilles et sympathiques des alpes du sud jusqu’à EYGLIERS, pour déjeuner, puis la N94 jusqu’à BRIANCON, puis la Vallée de la Clarée, franchi le col de l’Echelle, enjambé la frontière, et nous voilà dans le Piémont italien. D’un côté où de l’autre des pointillés de la carte, les paysages sont semblables. Un petit arrêt à SESTRIERE, ville olympique, pour arriver enfin à SOUCHERES-BASSES. Une bonne douche nous fera du bien.

Mercredi la route va encore être longue puisque, fidèles à nos habitudes, nous choisissons les petites routes paisibles, ce qui facilite la découverte du pays dans son quotidien. Il y a deux ans nous avions déjà déjeuné à « La Torretta » à BIANZE. Quand on connait un bon établissement, il ne faut pas hésiter à y retourner. L’après midi, nous suivons scrupuleusement le road-book. A une intersection, les deux ou trois voitures que nous voyons devant nous se trompent de route. Nous nous en rendons compte au bout de quelques centaines de mètres et faisons demi-tour pour reprendre le bon chemin. Nous rejoignons rapidement un petit groupe qui a pris la bonne direction. Au fil des rond points, des feux, … , nous ne sommes plus que deux équipages. Nous roulons à une allure soutenue pour tenter de rattraper la tête du groupe. Un arrêt détente de dix minutes est prévu, nous entrons sur le parking, personne. Conclusion : nous avons plus de dix minutes de retard sur Michel qui ouvre la route. Le carnet de route nous annonce un arrêt possible pour un regroupement. Toujours personne. Notre retard est vraiment beaucoup plus important que nous ne pensions. Pas de réseau sur le téléphone, donc pas de nouvelles des autres. Marc et Anne-Marie nous suivent. Nous devons rejoindre un lieu d’où le point de vue sur les lacs est réputé magnifique. Nous ne verrons pas les lacs. Nous nous trompons de route, nous n’avons pas fait les petits kilomètres qui nous séparaient du sommet de la montagne. Tant pis pour le panorama et les photos. Nous arrivons à l’hôtel, nous sommes les premiers. Nous avons roulé tout l’après midi en essayant de rattraper ceux qui, en fait, ont toujours été derrière nous !

La journée de jeudi est calme, en kilométrage en auto. Un parking nous est réservé à STRESA, proche de l’embarcadère pour les iles Borromées. Deux bateaux nous attendent  et nous transportent, dans un premier temps sur Isola Bella où nous visitons le palais et le jardin baroques. De nouveau le bateau pour accoster sur l’ile des pécheurs que nous visitons et où nous déjeunons. Après le repas c’est sur Isola Madre que nous débarquons. Il commence à pleuvoir, en fait il ne pleut pas, il bruine. Un couac, ou un bug, dans l’organisation de notre tour opérateur fait que la réservation pour la visite du musée n’a pas été faite. Nous sommes bloqués sur le débarcadère dans la fraicheur et l’humidité de l’air et le seul bistrot du site est fermé. Heureusement, les bateaux sont disponibles pour nous ramener sur « le continent ». Heureuse compensation, la ville de STRESA est bien pourvue en commerces, bars et glaciers pour nous permettre de bien terminer cette journée de détente, surtout que le soleil refait son apparition.

Vendredi, la côte est du lac Majeur est au programme avec une incursion en Suisse. Je ne vais pas vous relater cette journée, elle commence mal pour nous, dès le départ nous manquons le premier croisement, ce n’est pas grave, juste quelques petits kilomètres. Je décide de revenir sur le parking de l’hôtel pour remettre le compteur à zéro est repartir sur de bonnes bases. Nous reprenons la route, bien entendu en queue du groupe. Nous en voyons bien quelques uns déjà en perdition, mais il suffit de se recaler sur de bons repères et de reprendre le bon chemin. Au bout d’une bonne heure de route, je me rends compte que j’ai oublié ma sacoche à l’hôtel. Donc, pas de papiers d’identité, de la voiture, pas d’argent, pas de carte bleue, et déjà que nous sommes en Italie nous devons passer en Suisse. La décision la plus sage est de retourner à l’hôtel récupérer cette satanée sacoche. Bien entendu, tout ce temps perdu ne nous permet pas de rejoindre le groupe. Nous prévenons Michel, nous ne passerons pas la journée avec le groupe. Nous nous contenterons de visiter une partie de la côte ouest du lac Majeur en « solitaires ».

Samedi il faut déjà songer à rentrer. Une longue route reste à faire. Je pense que si nous devions retourner dans cette belle région des grands lacs italiens il serait judicieux de prendre l’autoroute pour faire l’aller et le retour en une journée et profiter davantage de notre séjour. Surtout que les voitures anciennes se font rares pour ce genre de sorties et que nos yougtimers et quelques voitures modernes supporteraient facilement l’autoroute. Le surcout du péage ne serait pas exorbitant eu égard au plaisir du séjour. Nous traversons la plaine du Po avec ses champs de maïs, ses rizières, puis se sont de vastes étendues de vergers de pommiers, poiriers, actinidia (kiwi) et noisetiers avant d’arriver enfin au pied des majestueux sommets des Alpes. Notre hôtel est situé à environ 1000 mètres d’altitude. Un dîner au « Torinetto » reste un grand moment. Même si on est déjà venu, on se laisse piéger par le nombre incroyable de plats qui sont servis pour un repas. Un grand moment !

Dimanche matin, au réveil, il fait un temps splendide. Les craintes de neige sont oubliées. Nous allons pouvoir franchir ce magnifique et majestueux col Agnel. Nous connaissons bien la route de retour, mais c’est toujours un plaisir renouvelé de franchir ces montagnes. Nous allons déjeuner à l’auberge « Roche Cline » à TURRIERS. Ceux qui connaissent sont ravis, ils vont pouvoir faire le plein de produit régionaux de qualité, en particulier ce pain cuit sur place, une tuerie ! Ceux qui ne sont encore jamais venus découvrent avec grand plaisir ce restaurant « magique ». Le reste de la balade, jusqu’au point de dislocation, est une formalité. Voilà, le 14ème ALTITUDE 25000 est terminé. Y en aura-t-il un quinzième ? La prochaine AG nous le dira.

 

                                   

https://drive.google.com/drive/folders/0B7hlmb-UPwpjamNwRVJyak9uQ2M?usp=sharing

LES PHOTOS DE YANN: >>> https://drive.google.com/folderview?id=0B8wECAvtRv26dFJYVWUwdm1vYVU

Rallye 1000

Le 20ème RALLYE 1OOO est terminé. Comment le résumer en quelques mots ? C’est simple, il a fait chaud, il a fait très très chaud. Nos autos anciennes, pour la plupart, ne sont pas climatisées, nous avons souffert. Certes, nous ne sommes pas vieux, pour nous ce n’est pas encore le 4ème âge, tout juste le 3ème naissant pour les plus anciens, mais tout de même, c’était dur.

Le départ a lieu à l’OPPIDUM DES CAUVINS à Rognes. Pour Maurice et Raymonde c’est idéal, puisque c’est chez eux. Non, nous ne faisons pas de la publicité pour ce domaine viticole réputé, c’est simplement en ce lieu idyllique que le départ de cette sortie de cinq jours est donné. Nous n’avons même pas dégusté, juste un café accompagné de viennoiseries, mais nous reviendrons.

Saluons le retour de blessure de Sylvette, notre trésorière, qui, certes, doit s’appuyer sur une canne, mais est de retour parmi nous après de longs mois.

Seulement 16 autos se retrouvent pour l’envol de cette longue ballade. Neuf équipages, pour des raisons diverses, ont déclaré forfait. Le Président nous remet les plaques souvenir de la manifestation ainsi que le road-book. Le circuit est libre, néanmoins, va comprendre, nous formons deux groupes dirigés par des « chefs de groupe ». Faudra m’expliquer ce fonctionnement des circuits libres!

Avec Josette nous nous retrouvons « chefs » du 2ème groupe et c’est là que les ennuis vont commencer.

Dès l’entrée de Cadenet, route barrée pour cause de travaux. C’est nouveau, une semaine plus tôt, pendant la reconnaissance, le passage était libre. Il va falloir improviser. Plus facile à dire qu’à faire avec cette horde de furieux qui te tètent le pare choc. En plus, le compteur que tu viens de t’acheter, précis à 10 mètres près ne te sert plus à rien puisque tu n’es plus sur l’itinéraire du livre de route du parcours libre!

Tout rentre dans l’ordre, enfin presque, car arrivés à Lourmarin une grande partie du groupe se trouve devant nous, alors que, logiquement, ils devraient être derrière. Ils ont vu une Porsche identique à celle de Christian et ils l’on bêtement suivie. Ils auraient pu se retrouver au Portugal ou en Roumanie. Tu vas me dire que le parcours est libre, alors, ils vont bien où ils veulent !

Je me rends compte que je commence mal mon récit de cette sortie. En effet, si je te raconte kilomètre par kilomètre, on n’est pas couchés, surtout moi. Alors on va opter pour le style télégraphique :

Bien arrivés au restaurant par petites routes pittoresques. Stop. Repas succulent. Stop. Départ pour l’étape de l’après midi. Stop. Parcours très agréable malgré la canicule. Stop. Clim dans la chambre largement appréciée. Stop. Bises à tous. Stop.

A l’époque des SMS, des réseaux soit disant sociaux, qui se souvient des télégrammes ? Essaye de raconter ce moyen de communication à tes petits enfants, s’ils ne te croyaient pas encore sénile, là, tu es cuit !

Je vous entends ronchonner, toi qui as participé à ce rallye et qui râle parce que j’écris n’importe quoi, et toi qui n’est pas venu et qui voudrait bien savoir comment cette belle ballade s’est déroulée. Ceux qui sont venus ont leurs propres souvenirs et n’ont pas besoin de lire les stupidités que j’écris, quant à ceux qui n’y étaient pas, ils n’avaient qu’à venir. Moi, je n’ai pas pris de notes, alors je vous raconte cette virée avec les souvenirs que j’en ai et en feuilletant le livre de route.

Nous voilà à la journée de jeudi. Lorsque nous sommes de simples promeneurs, au milieu du groupe, nous profitons des paysages, nous apprécions ces petites routes inconnues des touristes lambda que Michel nous fait découvrir … Mais là, nous devons mener le groupe et nous ne profitons de rien. Au diable ces chemins de campagne cachés derrière des haies, sans panneau de signalisation, et le road- book qui te dit : « ATTENTION, NE PAS MANQUER ! ». Enfin, nous arrivons au lac d’Aiguebellette où un bon repas nous attend au bord de l’eau.

L’après midi, après avoir suivi des chemins sublimes pour ceux qui suivent, tortueux et vicieux pour  celui qui est devant, nous arrivons, eu sueur, à la distillerie KARIO. Visite puis dégustation et pour beaucoup le plein de produits plus ou moins alcoolisés. L’hôtel n’est qu’à quelques kilomètres, une douche réparatrice sera la bienvenue. Cet hôtel est propre, confortable, accueillant, mais « monacal ». Il n’y a pas la clim, et avec la canicule que nous subissons ça se remarque. Si tu veux connaitre la météo pour demain, tu vas acheter le journal, il n’y a pas de télé dans les chambres !

Vendredi, ballade en bateau sur le lac du Bourget, le canal de Savières, passage d’une écluse pour aller sur le Rhône et retour. Il faut le vivre, ça ne se raconte pas. A midi, repas libre, enfin si on veut, certains d’entre nous avaient prévu d’aller déjeuner dans des restaurants de notre choix, mais on nous a fait comprendre qu’on avait la liberté de choisir son menu, mais à la cantine LAMC. Une chance, le « repas libre » était bon !

Après le repas, direction le Grand Pigeonnier, pardon, le Grand Colombier, haut lieu du Tour de France cycliste. Gaston est derrière moi, tout d’un coup je ne le vois plus, je me gare pour l’attendre, c’est Lucien qui arrive à toute vitesse. La DS 21 a rendu l’âme dans un gros nuage de fumée. En fait c’est le roulement de l’alternateur qui s’est grippé et la courroie a pété. C’est le début de la galère pour Gaston. Il décide de se débrouiller seul, nous poursuivons notre route. La pente est raide, les 250 CV que j’ai sous le pied rechignent à grimper et l’aiguille de température flirte avec la zone rouge. Dire qu’il y en a qui font ça en vélo ?

Michel a prévu un arrêt dans une maison de pays où sont proposés « des produits de la ferme ». C’est sympa, tout fait envi, mais compte tenu de la température extérieure ce n’est pas très raisonnable d’acheter quoi que ce soit. Sur le parking surchauffé des voitures font du « vapor-lock » et il faut les pousser pour démarrer. Pendant que chacun retourne prendre une douche rafraichissante, Michel va au supermarché faire des courses pour l’après diner, car comme la veille, une chaude soirée bien arrosée s’annonce pour fêter la finale du tournoi de baby foot dans la « cave » de l’hôtel. Pendant ce temps, après moult péripéties, Gaston, nous a enfin rejoints. Pour le moment il ne sait pas encore ce qu’il va faire pour son auto.

Henri est mal, il a perdu la clé de sa chambre d’hôtel, dans cet ancien monastère il n’y a plus personne à la réception. Vas t’il dormir dehors ? En tous cas, il a en réserve tout un assortiment de courroies de toute sorte et de toutes dimensions. De plus, il a un « booster » pour redonner du tonus aux batteries fatiguées. Tout cela redonne espoir à Gaston. Demain matin, Il va partir de bonne heure, accompagné par Yann, pour essayer de monter une des nombreuses courroies d’Henri pour actionner sa pompe à eau.

Samedi matin, nous reprenons le chemin inverse, pas par les mêmes routes, mais il faut songer à se rapprocher de la maison. Inutile de vous raconter tous les changements de points de vue, de paysages, de végétation. Depuis que vous suivez nos ballades vous connaissez tout ça ! Nous rejoignons le Fort de Saint Eynard qui surplombe Grenoble. Ce fort, et quelques autres stratégiquement placés défendaient la cité Iséroise avant que l’aviation ne vienne compromettre l’efficacité et l’utilité de ces installations militaires. Le point de vue, du haut de ces falaises, est magnifique et impressionnant. Cet ouvrage de défense, tombé dans l’oubli car devenu obsolète, chutait dans l’oubli et le délabrement. Une association de passionnés a entrepris, depuis plusieurs décennies, de le restaurer et de lui redonner son âme. Surprise lorsque nous arrivons pour déjeuner, l’AC Cobra de Yann et la DS 21 de Gaston sont sur le parking. Ce dernier affiche un sourire ravi, il a pu se dépanner et reprendre la route.

Après la visite guidée du fort nous reprenons la route par des circuits aussi extraordinaires que sait en dénicher Michel. Pour nous qui menons le groupe, aussi tordus que sait en dénicher Michel. Nous nous perdons et nous reperdons. Josette est au bord de la crise de nerfs. Nous sommes bloqués. Je passe la main à Lucien qui nous conduira jusqu’à l’hôtel.

Dimanche, il nous reste encore près de 200 km avant de rentrer. Personnellement je n’aime pas ce retour à « la civilisation ». Des cassis, des ronds-points qui se multiplient, la circulation qui se densifie à vue d’œil, les radars qui poussent le long des routes, qu’on était bien sur ces petits chemins plus étroits que ta voiture, certes difficiles à trouver, mais où tu ne vois personne si ce n’est quelques animaux qui pâturent ça et là.

Le 20ème RALLYE 1OOO est terminé. Comment le résumer en quelques mots ? C’est simple, il a fait chaud, il a fait très très chaud.

 

 

            https://drive.google.com/drive/folders/0B7hlmb-UPwpjNVBUNW9LR3ZUaFU?usp=sharing

 

Rallye découverte

Je n’ai pas oublié. Non, je n’ai pas oublié de faire le compte rendu du 5ème Rallye découverte. Je n’ai pas eu le temps de m’en occuper, tout simplement. Je vais m’efforcer d’assurer le service de « webmaster » jusqu’à la fin de l’année, mais, ensuite, il faudra envisager de me remplacer. Tiens, une femme serait la bienvenue pour tenir ce rôle. Elle relaterait nos sorties, qu’elle qu’en soit la durée, d’une autre manière qu’à travers nos bagnoles, car, il faut bien l’admettre, quoi que nous fassions, où que nous allions, tout tourne autour de nos chères bagnoles.

Le rallye, dont le club a confié l’organisation au voyagiste GROUPTOUR, commence officiellement jeudi à 18 h 30 lorsque nous nous présentons à l’hôtel. Néanmoins, un parcours « touristique » est proposé aux participants jusqu’à CAPDENAC et il est conseillé de déjeuner à LA CAVALERIE où plusieurs restaurants pourront sustenter une petite quarantaine de convives. Il ne fait pas très chaud et parfois quelques gouttes viennent s’écraser sur les pare brise.  Peu avant d’arriver à l’hôtel une violente averse se déclenche pendant 10 à 15 minutes, et la visibilité devient quasiment nulle. Nous prenons possession de nos chambres pour trois nuits ce qui nous évitera la corvée de bagages quotidienne.

Le vendredi, le Périgord noir et la vallée de la Dordogne nous attendent. Les paysages sont magnifiques pour aller jusqu’à SARLAT, but de notre première visite. Le franc beau temps se fait désirer, mais, pour le moment nous échappons à la pluie. La petite centaine de kilomètres qui nous conduit à la « capitale des princes marchands du moyen âge » est un régal. Paysages charmants, belles routes très roulantes, un plaisir. Arrivés en ville, un parking nous est réservé par l’organisation. Je suis chargé de mener un groupe, ma copilote me demande si je sais où je vais, pas de problème, nous avons fait la reconnaissance quelques jours avant. Et bien, problème ! Je manque l’entrée du parking, il faut se taper le tour de ville en sens unique pour revenir se garer. Bien entendu, le leader se plante, et tout le monde le suit … à quoi peut bien servir le road book ? Le guide nous attend pour la visite de la vieille ville. Tout est splendidement restauré, c’est un régal de découvrir ce joyau périgourdin. Nous sommes dans le Périgord, le tour opérateur aurait pu nous proposer un déjeuner un peu plus typique de la région plutôt que ce banal repas.

L’après midi une croisière en gabare nous est proposée. Les gabares sont des bateaux de transport fluvial traditionnels du sud ouest qui étaient utilisés avant que le train ne les remplace au 19ème siècle. A l’époque des chemins de hallage longeaient les cours d’eau afin de tracter ces grosses barques lourdement chargées. Maintenant, ils ne servent plus qu’à transporter les touristes pour des ballades fluviales. Une averse nous surprend avant l’embarquement et nous poursuivra pendant une partie de la navigation. Une bâche nous protège de la pluie et nous profitons confortablement de notre voyage.

Samedi départ à 8 h 30 en direction de ROCAMADOUR. Il faut découvrir ce site remarquable chargé d’Histoire et d’histoires. Notre guide nous attend au sommet de la falaise, sur le parking du château. Elle nous présente les faits marquants et historiques de ce site exceptionnel afin que nous comprenions les différentes étapes de la visite. Le chemin de croix sinueux et abrupt nous conduit sur le parvis des nombreuses chapelles et basiliques qui constituent le cœur de cet endroit. C’est dommage que la visite, très intéressante et bien commentée, ait duré aussi longtemps. Nous n’avons pas eu le temps de descendre au fond de la vallée pour visiter le village et profiter de la vue d’ensemble de cette falaise gorgée d’histoire. Ce sera l’occasion de revenir. Retour aux voitures pour parcourir les quelques kilomètres qui nous séparent du restaurant.

Après le déjeuner nous empruntons de jolies routes touristiques pour nous rendre dans de vieux villages magnifiquement conservés et restaurés. Ces visites sont un peu décevantes dans ce sens que tout est fermé. A part déambuler dans les ruelles, il n’y a rien à visiter. Ces villages sont morts, comme figés dans le temps. Même pas une taverne pour se désaltérer. En tout cas, nous nous ne l’avons pas trouvée. Une bien belle journée tout de même.

Déjà dimanche matin. C’est la fin officielle de ce rallye. Toutefois, il va falloir rentrer et nous ne sommes pas à côté. Dès le départ de l’hôtel Michel ne prend pas la bonne route et tout le monde le suit. Encore un petit kilomètre pour profiter de ces petites vacances jusqu’au dernier moment. Le retour est libre, comme l’aller, mais nous disposons d’un road book nous permettant de suivre un parcours, sinon le plus rapide, tout au moins un des plus agréable.

Pour voir les photos, clic:

https://drive.google.com/drive/folders/0B7hlmb-UPwpjRFZVZjYxUTFTZm8?usp=sharing

Journee nationale ffve 2017 1

Il était une fois un club de voitures anciennes qui organisait une sortie, c’était il y a longtemps, le 30 avril précisément, à l’occasion de la journée nationale des véhicules d’époque décrétée par la FFVE.

Madame, Monsieur,

Je vous prie de bien vouloir excuser le retard pris par mon petit Gérard pour vous mettre en ligne le compte rendu et les photos du 27ème Dégommage de printemps. Il y a eu le 1èr mai, la reconnaissance du Rallye Découverte, le long weekend du 8 mai, … etc …

Merci de votre compréhension.

La maman de Gérard.

J’étais doué, quand j’allais à l’école, pour me faire de vrais faux mots d’excuse.

Tout d'abord, souhaitons la bienvenue au club à quelques nouveaux. Nous aurons l'occasion de vous les présenter au fur et à mesure de nos sorties. En attendant, essayez de découvrir leurs autos en regardant les photos.

Christian et Sylvette sont toujours indisponibles, donc Michel m’a demandé de guider le premier groupe. Le départ se fait à LAMBESC. En avril ne te découvres pas d’un fil dit le proverbe, en ce dimanche matin, dernier jour du mois, le dicton se vérifie.

Dès le kilomètre 4 le road book mentionne ; « ne pas manquer !!!! à gauche D66d => ». Bien sûr, nous l’avons manqué. Ce n’est pas grave, nous retrouverons notre route quelques kilomètre après ROGNES. Ce qui est remarquable, normalement il y a treize voitures derrière nous, et bien, tout le monde suit. Tous suivent attentivement le carnet de route, aussi attentivement que leur leader !

Comme toujours nous roulons sur de petites routes agréables. Bien entendu, quand on doit mener un groupe, on est forcément plus attentifs au parcours qu’à l’environnement. Ceci ne nous empêche pas de nous réjouir de cheminer, pendant quelques secondes, avec une harde de sangliers qui trottinent dans le champ bordant la route.

A Saint Michel l’Observatoire, au carrefour, Josette me dit « à droite », et je tourne à droite. « Le moulin est magnifique, il est superbement restauré ». Et pan ! Deuxième erreur. Je n’ai pas vu ce moulin pendant la reconnaissance. Bien entendu tout le monde suit. Il faut trouver un endroit pour faire demi-tour en toute sécurité. Le prochain carrefour fera l’affaire. Seulement cinq voitures me suivent pour reprendre le bon parcours. Les autres rejoignent directement le restaurant. Merci la confiance, c’est vrai que la confiance ça se mérite.

La montée est agréable, la route est large et il n’y a pas beaucoup de circulation. Ceux qui ont des chevaux sous le capot peuvent les laisser se déchainer. Arrivée au somment la SIMCA P60 de Robert souffre de petit problème de fuite de joint de pompe à eau, mais ça ne va pas inquiéter outre mesure notre champion de la mécanique. La Dauphine de Roland manifeste une fois de plus son aversion pour la montagne. A presque 1600 mètres d’altitude, sur le flanc de la Montagne de Lure, le vent souffle généreusement, c’est vivifiant. Les buches crépitent dans la cheminée et le stock de bois est rassurant. La salle du restaurant est accueillante, l’apéritif contribue au « réchauffement de l’atmosphère », le repas est succulent.

Jamais deux sans trois dit le proverbe, dans un carrefour, Josette me dit « à gauche, c’est une épingle ».  Tout le monde suit. Tant pis, ce n’est pas la bonne route, mais « tous les chemins mènent à Rome », … on continue. Il faut tout de même trouver un emplacement pour s’arrêter quelques minutes, la pause pipi de mi parcours. Banco ! De la place pour les autos et un environnement agréable. Il était temps, la Cobra de Yann fume comme une locomotive. Malgré une réparation avec des pièces d’origine, cette panne est récurrente. Maurice, qui avait déjà dépanné cette auto lors d’une précédente sortie, ouvre sa caisse à outils, véritable caverne d’Ali Baba, et permet à Yann de réparer. Il est temps de repartir et de prendre le chemin le plus court pour regagner l’arrivée. Les autres vont nous attendre.

Logiquement, suite à notre changement de parcours, le deuxième groupe nous attend sur le parking. C’est la fin du rallye. Mais ce n’est pas la fin des aventures. Roger, qui devait participer avec sa Traction, n’a pas pu la sortir du garage ce matin, bloquée par la voiture de sa fille. Qu’à cela ne tienne, il vient avec sa Pontiac qui n’est pas mal non plus. Mais la belle américaine est une auto presque moderne, asservie par la technologie. Roger se gare, coupe le moteur, descend de l’auto et ferme la porte. La clé est restée sur le contact. La bête se met en sécurité ! Il n’y a pas de voyou dans ce club, donc, après de nombreuses tentatives, impossible d’ouvrir l’auto. La voiture est sur un parking de super marché à Meyrargues, le double des clés est à Rognac, au domicile de Roger ! Gaston et Jean Claude vont mener cet automobiliste devenu piéton forcé chercher le double des clés et le ramener pour récupérer la capricieuse.

Josette a passé une mauvaise journée suite à ses erreurs de « co-pilotage ». Elle est vexée. Bien que les quatre jours du prochain Rallye Découverte nous réservent bien des pièges, je ne crois pas qu’elle reproduira ces égarements.

Y compris ceux qui ont connu quelques petits soucis, l’ensemble des participants ont encore vécu une super journée.

Les photos : https://drive.google.com/drive/folders/0B7hlmb-UPwpjSXJDZnJ5VkJDdjg?usp=sharing

Les photos de Régis : https://drive.google.com/drive/folders/0B7hlmb-UPwpjd0ZtSVJfbnlQb2c?usp=sharing

Les photos de Yann : https://drive.google.com/folderview?id=0B8wECAvtRv26SWFRM1JPb19UWFU

Lorsque notre Président Michel LATIL m'a demandé d'organiser la présence de notre Club LA.M.C. à la manifestation du Printemps de l'Auto-Moto le samedi 22 avril 2017 Place Morgan à Salon de Provence, je me suis demandé si je réussirai à faire aussi bien que lui   ?   !

 

Alors je me suis attelé à la tâche … avec les encouragements de tous les membres du Bureau Directeur

Seulement, à 3 semaines de la date fatidique, seulement 3 voitures répondent présentes ( y compris celle de Michel et la mienne ) aucune autre candidature de membres de notre Association pour y participer   … mince   ...    Résultats   : appeler un à un les membres pour savoir sur qui je pourrai compter  ??

 

Un grand MERCI aux 1ers à répondre OUI ... Robert, Henri, Marc, Guy, Gisèle   !

Puis un autre grand MERCI aux suivants … Roger, Jean-Claude, Yves   !

 

Et petit à petit, à J – 8, une 1ère liste est remplie   : 15 voitures anciennes dont 4 d'avant 1940 et 11 de 1950 à 1980

La veille de l'exposition, on en était à 19 participants …

Le matin de l'exposition à 9H00, par grand soleil et temps froid, finalement 6 voitures de plus que prévu, donc au total 25 autos …

A 10h00 nous sommes amenés avec l'organisateur à refuser du monde   ! … 6 ne pourront pas exposer leur véhicule par manque de place ..   !

 

La journée est organisée autour de l'exposition des autos et motos ( merci à l'Association des Commercants de la Ville et à leur dynamique Président Philippe TREBOSC ) avec 2 parades en centre-ville ( le matin à 11H00 et l'après-midi à 15H30 ) et un déjeuner libre sur place pour les participants du Club

A noter la présence du nouveau Club de motos anciennes et vintage de Marseille, le «    Club Jante Y Heaume «    , venu avec une vingtaine de motos … et un très joli barnum qui m'a rendu jaloux car notre Club n'en possède pas   !!! … clin d'oeil à Michel …   on en achète un quand   ? … !

 

Ce sont les motos anciennes qui ont ouvert les 2 parades en centre-ville, jouant même parfois le rôle des voltigeurs en bloquant la circulation à certains carrefours, en fluidifiant le trafic, et en nous évitant ainsi de faire chauffer les moteurs de nos anciennes … un grand merci à eux   !

 

Pour ceux que cela intéresse, ce Club de motos anciennes est plus connu sous le nom de «    Distinguished Gentleman's Ride «    ( D.G.R. ), et organise chaque année dans 110 villes du monde entier une grande parade ( parfois plus de 1.000 motos   !!! ), pour aider à la lutte contre le Cancer de la Prostate. Vous verrez alors un Gentleman en costume sur une moto ( parfois avec une pipe et des moustaches   ! ) … regardez les vidéos sur You Tube ou sur Facebook    car c'est beau   !

 

Je note avec Michel la présence de plusieurs candidats désirant adhérer à notre Association   : Lucien avec une Alpine Berlinette Renault et une Lotus Europe Twin-Cam, Joël avec un Proto Renault Dauphine de 1961, Jérôme avec une magnifique Alfa-Roméo Giulietta Cabriolet de 1956, Louis avec sa Fiat 500 de 1971, le propriétaire d'une Porsche 964 Carrera, et le propriétaire d'une Golf GTI Série 2  !

D'ailleurs 3 d'entre eux seront présents quelques jours plus tard lors de notre beau Rallye vers la Montagne de Lure (04), le 30 avril ( et date de la nouvelle Fête Annuelle de la Voiture Ancienne ! )

 

Encore un grand merci à tous les participants, plus particulièrement à Hubert venu de Saint-Martin de Crau avec son Peugeot Torpédo 190  de 1929, à Maurice venu de Cavaillon avec une Citroën Rosalie de 1933 ... récalcitrante au démarrage   !   , à Gaston qui nous a gratifié d'une belle animation sur le thème du Tour de France cycliste sur le plateau de sa Renault KZ – 4 de 1930 et son ami cycliste venu avec un  vélo des années 1920 et roues en bois   !!! ( la Ville de Salon de Provence qui est pourtant chargée de l'accueil d'une étape du Tour de France en juillet 2017 n'a pas réussi à fournir à Gaston une Banderole aux couleurs de la Ville … dommage   ! )

 

Merci aussi aux spectateurs qui nous ont assailli de mille questions sur nos anciennes toute la journée   !

 

J'ai immortalisé l'évènement avec 130 photos, rien que ça   ! A l'année prochaîne   !

 

Yann de Carné -- Membre du Bureau Directeur du Club L.A.M.C. -- Chargé des Relations Inter Clubs

                      Les photos de Yann  ---->>>  https://drive.google.com/folderview?id=0B8wECAvtRv26eGJkN3pSQS1KcWM

                      Photos prises par un professionnel Yannick Libourel  --->>>   https://drive.google.com/folderview?id=0B8wECAvtRv26MThpVjdCSXA3TW8

                       Photos de "PROFESSIONNEL SWYD MOTORS" --->>>  https://drive.google.com/folderview?id=0B8wECAvtRv26NXN1MDNONGl0em8

 

                     pneus003

  

Dernier weekend d’octobre, changement d’heure, pendant la nuit du samedi au dimanche on retarde les pendules d’une heure. J’adore ça, on va dormir une heure de plus.

Dernier weekend de mars, changement d’heure, pendant la nuit du samedi au dimanche on avance les pendules d’une heure. On va dormir une heure de moins et ça je crains.

Et juste ce fameux weekend de mars nous avons une sortie du club. Rendez vous à 8 h 30 au Val de Sibourg pour le départ. Non seulement nous avons rendez vous à l’heure où habituellement je commence à ouvrir les yeux, mais en plus, pour mon horloge biologique interne j’aurais encore une heure de sommeil de moins. Je vais être frais dans la journée.

Bien que nous n’habitions pas très loin, nous ne sommes pas les premiers à arriver sur le parking. Un soleil radieux est en train de chasser la fraicheur de la nuit. Après 48 heures de pluie intense, des traces d’humidité subsistent mais le dieu RA des Egyptiens antiques va rapidement sécher tout ça.

Sylvette n’étant toujours pas rétablie de sa blessure à la jambe, Josette et moi allons prendre la tête du premier groupe. La ballade s’annonce plaisante pour les trente deux équipages inscrits. Direction la Camargue, mais comme toujours pour nos sorties, en prenant des petites routes sympathiques à travers la campagne et en longeant les différents étangs des environs d’Istres nous allons apprécier toutes les nuances de vert que nous offre le printemps naissant.

Passé Fos sur Mer, nous longeons la zone industrielle et portuaire sur notre gauche pendant que sur notre droite nous devinons les prémices  des paysages camarguais. Vous l’avez compris, nous allons entrer en Camargue par le bac de Barcarin. Nous ne sommes pas les seuls à emprunter le bac. Malgré sa grande capacité il ne pourra pas nous faire traverser le Rhône en une seule fois. Nous attendrons sur l’autre rive que la deuxième rotation du bateau nous permette de reformer le groupe.

Que la Camargue est belle. Au premier abord, ces paysages semblent monotones. Pourtant, en y regardant de plus près, quelle diversité de flore et de faune, quelle richesse de paysages offre le delta de ce puissant fleuve. L’Etang de Vaccarès étale ses 6500 hectares au cœur de cette splendide réserve naturelle nationale.

Une perturbation météo était annoncée par l’ouest et nous allons vers l’ouest. Par moment de sinistres et menaçants nuages noir passent au dessus de nos têtes. Quelques gouttes de pluie viennent s’écraser sur les pare brises. Mais le soleil aura tout de même le dernier mot.

Le restaurant est accueillant, le menu, excellent, est naturellement camarguais.

Pour le retour encore des petites routes de campagne jusqu’au parking du restaurant « La Cabane Bambou » où nous allons nous séparer à la fin de cette belle journée.

Je savais qu’avec ce changement d’heure je ne serais pas frais. Pour preuve, Marc et Anne Marie m’ont demandé de les prendre en photo avec leur super téléphone sophistiqué afin d’immortaliser leurs prodigieux sweatshirt devant leur belle MG B. Et bien, j’étais tellement liquéfié que je n’ai pas réussi à déclencher l’objectif !

A bientôt pour une nouvelle virée.

 

RALLYE ST VALENTIN

Le téléphone sonne …

Je peste contre cet ustensile qui me réveille à une heure bien trop matinale. Au siècle dernier, tu avais un bon vieux réveil mécanique, une pièce de musée (nous en verrons peut être lors de la visite), que tu pouvais jeter contre la cloison, comme dans les dessins animés et qui explosait en un tas de ressorts, aiguilles et autres engrenages. Maintenant c’est ton  téléphone qui te réveille. Mais tu ne peux pas, au prix où il coute, le jeter chaque fois contre le mur. Bon, il faut vivre avec son temps, le téléphone, maintenant, te fait à peu près tout ce que tu veux. Bientôt, il ne te servira même plus à appeler ta maîtresse, il la remplacera. Finalement, même au prix de l’appareil, ça te coutera moins cher pour la saint Valentin !

Tiens, la saint Valentin, c’est pour ça que le réveil (enfin le téléphone) sonne. C’est aujourd’hui que nous faisons notre 5ème rallye dédié à ce saint homme. Il me vient une idée, lorsque mes talents d’écrivain m’auront propulsé à l’Académie Française, je proposerai à mes pairs une nouvelle orthographe pour cette journée du 14 février : la Sein Valentin. Ça aura l’avantage de ne pas heurter les âmes sensibles choquées par les crèches de Noël et autres christianades. Quoi que, pour des gens qui cachent leurs femmes sous des bâches, l’orthographe saint ou sein risque de poser problème d’une manière ou d’une autre.

Malgré l’heure matinale, la journée s’annonce magnifique. C’est le printemps à la mi février. Je regrette un peu moins de m’être levé avant le soleil.

Je dérape, j’étais censé vous raconter cette belle journée, au lieu de ça je laisse, une fois de plus, aller mon imagination. Au fond, c’est ça le talent !

Et puis, c’est la faute à Michel. J’avais pris l’habitude qu’il nous mette plein de pages de documentation dans le road book pour nous imbiber du rallye, et moi, j’utilisais ces informations pour vous concocter le résumé de la sortie. Cette fois, rien, même pas le menu du repas. Alors, je fais comment moi ?

En fait, il a raison Michel, personne ne le lit le road book. Pour preuve, Sylvette et Christian n’étaient toujours pas avec nous, Sylvette a encore sa jambe dans le plâtre. Il fallait donc revoir l’organisation de la sortie. Je suis chargé, guidé par Josette, de guider le premier groupe, habituellement le groupe « des furieux », mené par Sylvette et Christian. Pour soit disant me faciliter la tache, Michel a inversé les groupes. Résultat, avant de partir, j’ai du aller solliciter un certain nombre de nos amis qui ont trainé les pieds pour me suivre, et le groupe s’est retrouvé gonflé par un certain nombre qui ont l’habitude de partir avec Christian et qui n’étaient pas dans « le bon wagon ». Vas leur faire comprendre que lorsque tu as derrière toi une Traction, une 2 CV ou un Floride en 6 volts tu ne peux pas leur permettre d’exploiter pleinement les 75 cv de leur bolide.

En arrivant à la pause déjeuner, tout de même bien longtemps avant le groupe des quelques « furieux » restés avec Michel, quelqu’un m’a dit : « je suis toujours émerveillé de découvrir les parcours que nous propose notre président, des petites routes splendides, des villages pittoresques presque hors du temps, … comment fait-il ? ». J’ai répondu : « beaucoup de travail, un peu de talent et un enthousiasme sans limite ».

Nous sommes au Musée 1900 à Arpaillargues, près d’Uzès. Il n’y a pas de restaurant, mais de grandes salles pour recevoir les convives et un traiteur se charge de servir un repas succulent.

Deux groupes se retrouvent en même temps pour déjeuner et visiter le musée. Le notre et « des vieux », venus en car, et qui auront bientôt notre âge. Heureusement, nous sommes dans des salles différentes.

Après le repas, nous visiterons le musée. Le groupe de « vieux » passe avant nous, c’est normal, ils ont de la route à faire et doivent se coucher de bonne heure après avoir avalé leur bol de soupe en fin d’après midi.

Les collections sont aussi intéressantes qu’hétéroclites. Locomotion, (calèches, autos, motos, vélos, …), matériel de lutte contre l’incendie, TSF, photo, cinéma, outils et machines agricoles des 19ème et 20ème siècles, moulin à huile hydraulique en état de fonctionner, … pour ceux qui ne connaissent pas, c’est à voir.

C’est déjà le chemin du retour, c’est fou comme le temps passe vite ! Nous revoilà partis avec derrière nous la horde des « lents » suivis des quelques « furieux » qui tentent de s’accrocher.

Encore une super journée que nous a organisée notre club favori et la rose que le président a eu la délicate attention d’offrir à nos compagnes ce matin n’a pas trop souffert de son séjour dans la voiture.

Vous seriez déçus si je ne râlais pas un peu, alors je vais demander à Michel, si je dois encore mener un groupe, si toutefois le handicap de Sylvette se prolonge, de reprendre le rythme  habituel. Si je dois ouvrir la route avec le premier groupe, autant vaut il que ce soit « les furieux ». Je m’en accommoderai !

Adessias comme on dit en Provence, au 26 mars.

 

 

Pour voir les photos      

  

https://drive.google.com/drive/folders/0B7hlmb-UPwpjNWZaZkQxRjVlUVE?usp=sharing

galette des rois

C'est une première pour le club, en tous cas depuis que j'en suis membre.

Samedi 7, l'ensemble des adhérents était convié à venir partager la galette des rois et trinquer à la nouvelle année, surtout à la nouvelle saison de sorties et de rallyes que nous prépare le Comité Directeur.

C'est simple, il suffisait de s'inscrire pour que Marie-Jo puisse commander galettes et brioches en quantité suffisante ainsi que les boissons, et de ne pas oublier de venir à partir de 15 heures à la salle des fêtes du Val de Sibourg afin de participer à cet après midi de convivialité et d'amitié.

Au vu du succès de cette journée, c'était une première, mais surement pas une dernière.

Le premier rallye de l'année aura lieu les 28 et 29 janvier. Ce sera le 13ème rallye 1ère glisse qui, traditionnellement, ouvre notre saison. Tout aussi traditionnellement seulement 15 équipages participeront. Espérons que nous aurons au moins autant de neige qu'en septembre dernier lorsque nous avons franchi les cols du Galibier et du Lautaret.

Les photos: https://drive.google.com/drive/folders/0B7hlmb-UPwpjN2tSTjBVZVlEQm8?usp=s